Au Chili, la banque du temps, “El banco del tiempo”, existe depuis 2007. Mais depuis l’arrivée de la crise, de plus en plus de personnes sont attirées par cette méthode de rétribution de services qui utilise le temps pour seule monnaie d’échange. Petit tour d’horizon sur le fonctionnement de ce système solidaire qui a déjà plus de 800 adhérents au Chili
Membres de la banque du temps (Photo J.T)
This is an open letter to President Dilma Rousseff signed by international organizations, academics and activists in support of the work of the Brazilian society and government for the cultural commons
The Commons Strategies Group with a little help from some friends has drafted an open letter to Brazil’s President Dilma Rousseff to be signed by international organizations, academics and activists in support of the work of the Brazilian society and government for the cultural commons. The Open Letter is to be issued at the World Social Forum in Dakar, Senegal, this week. It follows an Open Letter by the Brazilian civil society in December expressing concern that Rousseff’s appointment of Ana de Hollanda as new Minister of Culture might lead to a reversal of the progressive policies under the Ministers Gilberto Gil and Juca Ferreira. The letter points out a range of achievements by the previous Ministry of Culture (MinC), including the Points of Culture, the support for free software, the Development Agenda at WIPO, an open inclusive dialogue in society about culture policies, the adoption of free licenses such as those of Creative Commons and the copyright bill. The concern was fueled by the first activities of the new Minister Ana de Hollanda. She announced that she will need to review the copyright bill that was ready to be send to Congress and she withdrew the CC licence from the ministry’s website. For some background on the issues see here.
After the release it will move to its own web-page for signature collection. If your group wants to be among the initial signatories please e-mail your endorsement to Silke.Helfrich@gmx.de of the Commons Strategies Group until Thursday 10 February at 9 a.m. Central European Time. The letter and signatures will be presented at the World Social Forum in Dakar on that day.
Os Movimentos Sociais de Altamira vêm a público denunciar a manipulação do Governo Federal, Fundação Nacional do Índio (Funai) e da Norte Energia junto à associação dos indígenas moradores de Altamira-PA.
Os povos indígenas de diversas aldeias do médio Xingu mobilizados pela Funai, com apoio logístico da Norte Energia, estiveram reunidos entre os dias 17 e 22 de janeiro do corrente ano, na casa do índio e na Funai para discutir questões relacionadas à saúde e educação nas aldeias. À frente desta reunião estavam indígenas ligados à FUNAI e membros da Norte Energia que, aproveitando de uma demanda legítima desses povos usaram o evento para legitimar ações de seus interesses causando prejuízos aos povos indígenas e interferindo no direito constituído da livre associação das organizações civis e na forma de relacionamento dos índios e de sua cultura.
Os fatos denunciados são os que seguem:
- Apoio logístico da Funai à funcionários e indígenas favoráveis ao projeto de construção da barragem de Belo Monte;
- Convocação de uma reunião da Associação dos Índios Moradores de Altamira (AIMA) assinada por uma funcionária da Funai;
- Destituição da Diretoria da AIMA de forma ilegal e autoritária nesta mesma reunião convocada pela Funai:
- Coação de Lideranças Indígenas contrários a Barragem;
- Cooptação das comunidades indígenas através de doações de cestas básicas;
Diante do exposto repudiamos e denunciamos as ações e iniciativas da Funai e Norte Energia que expõem os povos indígenas a uma série de ameaças ao mesmo tempo em que enfraquece suas organizações provocando atritos entre os mesmos e pondo em risco a vida de algumas lideranças.
Assinam esta carta:
CIMI – Conselho Indigenista Missionário;
CPT – Comissão Pastoral da Terra;
MAB/Via Campesina – Movimento dos Atingidos por Barragens;
MXVS – Movimento Xingu Vivo para Sempre;
Consulta Popular/Altamira;
MPA/Via Campesina – Movimento dos Pequenos Agricultores;
UJOX – União da Juventude Organizada do Xingu;
AITESAMPA – Associação Indígena Tembé de Santa Maria do Pará;
AIMA – Associação dos Índios Moradores de Altamira;
APIJUX – km – 17 – Associação do Povo Indígena Juruna do Xingu;
Comitê Metropolitano Xingu Vivo para Sempre;
Pastoral da Juventude;
Pastoral da Juventude Rural;
ABEEF – Associação Brasileira dos Estudantes de Engenharia Florestal/Via Campesina;
FEAB – Federação dos Estudantes de Agronomia do Brasil/Via Campesina;
via Nota aos Movimentos Sociais: Funai vem manipulando associações indígenas no Pará.
Un manifeste pour une stratégie numérique québécoise circule depuis près de deux semaines sur le web et, relayé par les médias sociaux, commence à recueillir des appuis populaires. Nous devons accueillir avec plaisir et enthousiasme cette initiative de Communautique qui dit se faire le porte parole d’une démarche amorcée il y a déjà deux ans par plusieurs acteurs de différents milieux.
Après avoir rappelé un temps pas si lointain (1998) où le Canada était dans le peloton au niveau mondial et le Québec lançait une stratégie numérique dans laquelle il se projetait déjà comme « leader mondial » en matière de nouvelles technologies de l’information (TIC), les auteurs du Manifeste font le constat d’une véritable « fracture numérique » canadienne au plan international et québécoise au sein du Canada. Le Canada maintenant au 27ème rang sur 30 pays de l’OCDE vient après des pays comme le Portugal ou la Bulgarie en termes d’installation de la haute vitesse considérée aujourd’hui comme un service essentiel.
L’immobilisme des deux paliers de gouvernement face à cette régression est d’autant plus inexplicable , selon les auteurs , que les analyses de tous les experts et les recommandations de toutes les institutions internationales (OCDE, UIT, Conseil de l’Europe, etc.) montrent la place centrale des TIC tant dans le champ économique et culturel que dans le fonctionnement démocratique en insistant sur l’urgence de mettre en place des stratégies numériques nationales .
Dans la perspective du rapport Sciences et démocratie deux points nous semblent intéressants à noter:
En problématisant l’internet et son usage selon le paradigme des biens communs et de l’accès ouvert ce manifeste se rapproche d’un mouvement grandissant au plan international des ‘biens communs » qui rassemble autant les scientifiques que les usagers autour des questions des ressources naturelles mais aussi des semences, des médicaments , du partage de données et de la propriété intellectuelle. Plus près de nous cet appel nous renvoit à la dynamique populaire autour des gaz de schiste même si les deux questions peuvent sembler à priori très éloignées l’une de l’autre.
Car finalement, on parle de la même chose :une communauté de personnes (ici au niveau de la nation) qui s’ unit pour prendre soin d’une ressource collective et qui s’auto-organise sur un mode participatif et démocratique pour la mettre au service de l’intérêt général.
Via : L’internet comme bien commun.
« Libération des semences et de l’humus ».
Kokopelli est un personnage de la mythologie amérindienne souvent représenté bossu et jouant de la flute et qui symbolise la fertilité et la germination. C’est aussi le nom qu’a choisi une association française qui distribue, cultive et récolte des semences issues de l’agriculture biologique et biodynamique à travers le monde dans le but de lutter contre l’érosion génétique et de préserver la biodiversité semencière et potagère. En effet, ces actions doivent garantir un contrôle de qualité de la chaîne alimentaire.
Par Laurence Brassamin
Regardscitoyens.org propose de faire la chasse aux données pour les libérer. Cette nouvelle forme de mobilisation s’inspire des “Data Hunt” de Open Knowledge Foundation. Pour une bonne revue de l’état des lieux de l’Open Data, on pourra notamment consulter le blog de LiberTIC.
Et ne pas manquer le rendez-vous le 26 novembre 2010 à la Cantine !
En février 2011, le Forum social mondial et le Forum mondial science et démocratie seront deux opportunités offertes aux “commoners” d’interagir avec d’autres mouvements civiques et sociaux.
Une liste de discussion <dakar@bienscommuns.org> est à la disposition des contributeurs : https://bienscommuns.org/cgi-bin/mailman/listinfo/dakar (more…)
The World Social Forum and the World Forum on Science and Democracy will be two opportunities for the commoners to interact with other civic and social movements.
A list of discussion
Ce séminaire est organisé par le Collège International de Philosophie, Université de Paris 1 – Maison des Sciences Economiques, coordonné par Serge Cosseron, Pierre Dardot, Patrick Dieuaide, Nicolas Guilhot, Giorgio Grizotti, Christian Laval, Jason Francis Mc Gimsey, Jean-Marie Monnier, Antonio Negri, Elicio Pantaleo, Bernard Paulré, Franck Poupeau,Judith Revel, Carlo Vercellone. La prochaine séance « Passer du public au commun » avec Antonio Negri et Pierre Dardot se déroulera le mercredi 3 novembre, 19 h à la Maison des Sciences Economiques, 106, bd. de l’Hôpital, salle 114.
The International Commons Conference: Constructing a Commons-Based Policy Platform – Economy – began at the Heinrich Böll Stiftung.
Follow the livestream
An epoch in modern history has ended. The growth imperative of market capitalism is evidently endangering the ecosystem. Confidence in governments as reliable steward of people’s interests has been shaken. Therefore, a new path forward is coming into focus: The commons! The commons is about reclaiming, sharing and self-governing resources that belong to everyone. As a form of governance it is defending traditional or building new social and institutional systems for managing our resources – water and land, knowledge and seeds, genes and the atmosphere – based on the principles of equity and sustainability. The commons is a practical means for re-inventing society in ways that markets and governments are unable or unwilling to entertain. Commons does not mean resources alone are centre stage, of higher importance are the relationships among us, the commoners, our ways of commoning.