Archive for the ‘Languages / Langues’ Category

«Biens Communs La Prospérité par le Partage», publié par HBFs

January 19th, 2011

Le rapport «Biens Communs La Prospérité par le Partage» par Silke Helfrich, Rainer Kuhlen, Wolfgang Sachs et Christian Siefkes, publié par la Fondation Heinrich Böll, Allemagne est maintenant disponible en français avec le soutien de RITIMO. Il fera l’objet d’une présentation publique lors du Forum Social Mondial le Lundi 07 février 2010 (l’horaire précis sera annoncé dans le programme du FSM).

« Nous avons voulu dans ce rapport étudier le potentiel des biens communs. Nous y examinons les facteurs qui menacent leur existence. Nous y montrons quelles sont les règles qui ont fait leurs preuves dans certaines situations, et quelles sont celles qui doivent être entièrement repensées. » écrivent les auteurs.

La séance aura pour but de présenter la publication et d’introduire un débat complexe, illustré par de nombreuses histoires et exemples du monde entier et de favoriser les échanges entre les acteurs dans différents domaines, de la défense et de la reconquête de ces biens communs.

Avec la participation de:

Silke Helfrich, Commons Strategies Group, co-auteur, Allemagne
Hervé Le Crosnier, France (tbc)
Panelist West-Africa, NN


Pour plus d’information :

Organisée par Heinrich Böll Stiftung : http:www.boell.de
Contact : Kirsten Maas-Albert, maas-albert@boell.de
Le rapport : Biens Communs La Prospérité par le Partage, publié sous licence creative commons by-sa, http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/
Download : http://www.boell.de/downloads/20101101_Report_Biens_Communs.pdf
Version in English : http://www.boell.de/downloads/20101029_Commons_Prosperity_by_Sharing.pdf

2 février 2011 : Présentation de l’ouvrage “L’eau, un bien public – Alternatives démocratiques à la privatisation de l’eau dans le monde entier “

January 18th, 2011

Le livre « L’eau, un bien public » est l’édition française, mise à jour et augmentée d’un nouveau chapitre sur la remunicipalisation de l’eau à Paris, de l’ouvrage Reclaiming Public Water édité par le Transnational Institute et le Corporate Europe Observatory.

Traduit en une douzaine de langues depuis sa publication initiale, ce livre rassemble des contributions de gestionnaires de services publics de l’eau, de chercheurs, de syndicalistes et de militants associatifs du monde entier sur la défense du service public de l’eau face aux appétits voraces des multinationales du secteur (notamment les françaises Veolia et Suez), les résistances citoyennes à la privatisation, et la construction de services publics de l’eau efficaces et démocratiques, au service de tous.

Le Transnational Institute, France Libertés et Ritimo vous invitent au lancement du livre

L’eau, un bien public
Alternatives démocratiques à la privatisation de l’eau dans le monde entier

Avec
• Danielle Mitterrand, présidente de France Libertés
• Susan George, présidente du Conseil du Transnational Institute et présidente honoraire d’Attac France
• Anne Le Strat, adjointe au maire de Paris et présidente d’Eau de Paris
et des acteurs de mouvements de défense du service public de l’eau du Nord et du Sud

2 février 2011 de 18 à 20 heures
Pavillon de l’eau – 77, avenue de Versailles, Paris XVIe (métro Mirabeau, Javel ou Eglise d’Auteuil, RER Javel)

La parution de ce livre permet de replacer les débats politiques actuels sur la gestion de l’eau en France et les mérites comparés des secteurs public et privé dans leur contexte mondial.
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Appel à conférences – Rencontres mondiales du logiciel libre

January 7th, 2011

Les Rencontres Mondiales du Logiciel Libre (RMLL) sont un cycle de conférences autour du logiciel libre. Ces Rencontres sont annuelles, existent depuis 2000 et se déroulent depuis 2003 dans une ville différente chaque année. Elles sont gratuites et libres d’accès à tous. Les RMLL 2011 se dérouleront à Strasbourg du 9 au 14 juillet.

L’appel à conférence est en ligne : http://2011.rmll.info/appel.html

Il se terminera le 1er mars 2011.

N’hésitez pas à soumettre des propositions de conférences.

Libre en fête 2011

January 6th, 2011

Thomas Petazzoni et l’équipe d’organisation du Libre en Fête 2011 vous invitent à participer à la préparation de la 11ième édition de cette manifestation. Elle se déroulera autour du 21 mars 2011, pour faire découvrir le Logiciel Libre partout en France !

Lire l’invitation des organisateurs (more…)

Remix The Commons !

December 16th, 2010

Remix The Commons, projet d’oeuvre multimédia collaboratif et évolutif sur les biens communs, a donner ses premiers tours de manivelles à l’occasion de la conférences internationale organisée à Berlin en novembre dernier par la Fondation Heinrich Boell et le Groupe stratégique International pour les biens communs (IIC).

Il livre aujourd’hui les 14 premières vidéos sur les biens communs sur Viméo et bientôt sur d’autres canaux (youtube, dailymotion et blip.tv).

En voici une, celle de silke Hilfrish, parmi d’autres :
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L’internet comme bien commun

December 13th, 2010

Un manifeste pour une stratégie numérique québécoise circule depuis près de deux semaines sur le web et, relayé par les médias sociaux, commence à recueillir des appuis populaires. Nous devons accueillir avec plaisir et enthousiasme cette initiative de Communautique qui dit se faire le porte parole d’une démarche amorcée il y a déjà deux ans par plusieurs acteurs de différents milieux.

Après avoir rappelé un temps pas si lointain (1998) où le Canada était dans le peloton au niveau mondial et le Québec lançait une stratégie numérique dans laquelle il se projetait déjà comme « leader mondial » en matière de nouvelles technologies de l’information (TIC), les auteurs du Manifeste font le constat d’une véritable « fracture numérique » canadienne au plan international et québécoise au sein du Canada. Le Canada maintenant au 27ème rang sur 30 pays de l’OCDE vient après des pays comme le Portugal ou la Bulgarie en termes d’installation de la haute vitesse considérée aujourd’hui comme un service essentiel.

L’immobilisme des deux paliers de gouvernement face à cette régression est d’autant plus inexplicable , selon les auteurs , que les analyses de tous les experts et les recommandations de toutes les institutions internationales (OCDE, UIT, Conseil de l’Europe, etc.) montrent la place centrale des TIC tant dans le champ économique et culturel que dans le fonctionnement démocratique en insistant sur l’urgence de mettre en place des stratégies numériques nationales .

Dans la perspective du rapport Sciences et démocratie deux points nous semblent intéressants à noter:

  • Considérer l’internet comme un « bien commun » comme le demandent les auteurs implique d’une part une prise en charge par les usagers eux mêmes et leur participation active dans l’élaboration de la stratégie et, d’autre part, une responsabilisation du gouvernement pour encadrer et mettre en oeuvre le processus..
  • Parmi les questions auxquelles le plan numérique devrait répondre en priorité figure « L’accès ouvert et le partage des données et savoirs scientifiques »

En problématisant l’internet et son usage selon le paradigme des biens communs et de l’accès ouvert ce manifeste se rapproche d’un mouvement grandissant au plan international des ‘biens communs » qui rassemble autant les scientifiques que les usagers autour des questions des ressources naturelles mais aussi des semences, des médicaments , du partage de données et de la propriété intellectuelle. Plus près de nous cet appel nous renvoit  à  la dynamique populaire autour des gaz de schiste même si les deux questions peuvent sembler à priori très éloignées l’une de l’autre.

Car finalement, on parle de la même chose :une communauté de personnes (ici au niveau de la nation) qui s’ unit pour prendre soin d’une ressource collective et qui s’auto-organise sur un mode participatif et démocratique pour la mettre au service de l’intérêt général.

Via : L’internet comme bien commun.

(Re)claiming the environment | GISWatch 2010

December 12th, 2010

New GISWatch asks, How sustainable are ICTs really? A new report launched at the start of the UN Climate Change conference questions the assumption that information and communications technologies (ICTs) will automatically be a panacea for climate change.

We publish below one of the introductory articles. You can download the full GISWatch 2010 report here.

(Re)claiming the environment

Climate change is presented as a crisis: by the scientific community, global institutions, governments and the media. Its urgency provokes the need for mainstreaming environmental concerns in the information and communications technology for development (ICT4D) sector. While analysts argue that climate change magnifies development inequalities, it is also likely to magnify political disagreements and fault lines – already the case at global forums such as the recent negotiations in Copenhagen.

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“The Take” : exercices de réappropriation en Argentine

December 12th, 2010

Argentine 2001-2002. Le capitalisme argentin s'effondre, littéralement. Les capitaux quittent le pays nuitamment. Les banques ne paient plus. Les capitalistes abandonnent le navire. L'insurrection éclate : pillages, grèves générales, émeutes. Ici et là, des assemblées populaires se développent, les chômeurs bloquent les routes, les banques sont assaillies et saccagées, et des ouvriers se réapproprient leur usine et les remettent en marche, à leur compte – mise en commun : communisation.

A suivre dans ce documentaire : “The Take”, réalisé par Avi Lewis et Naomi Klein.

Synopsis : ” A la suite de la crise économique argentine de 2001, trente ouvriers au chômage dans la banlieue de Buenos Aires occupent leur usine abandonnée par les patrons et refusent de la quitter. Ils demandent le droit de faire repartir les machines, de reprendre le travail.

Freddy Espinosa, président de la nouvelle coopérative des ouvriers de La Forja, et Lalo Paret, activiste du Mouvement National des Entreprises Récupérées, vont faire face, avec leurs camarades, à leurs anciens patrons, aux banquiers et au système tout entier…”

Disponible en cinq parties. Première partie ici :

ou ici :

Partie 1 sur 5 : http://www.dailymotion.com/video/x3jtk9_the-take-1sur-5_news
Partie 2 sur 5 : http://www.dailymotion.com/video/x3jtqa_the-take-2-sur-5_news
Partie 3 sur 5 : http://www.dailymotion.com/video/x3jtue_the-take-3-sur-5_news
Partie 4 sur 5 : http://www.dailymotion.com/cowboy_qui_crie/video/x3jtzm_the-take-4-sur-5_news
Partie 5 sur 5 : http://www.dailymotion.com/cowboy_qui_crie/video/x3ju5k_the-take-5-sur-5_news

via “The Take” : exercices de réappropriation en Argentine – Bienvenue dans le désert du réel, où croît aussi ce qui sauve..

Université Internationale du CRID – Atelier Biens communs

December 2nd, 2010

Cet atelier, qui se déroulait à Bordeaux en juillet 2010, était animé par l’association VECAM (http://vecam.org). Il a réuni une quinzaine de personnes.

Dans son introduction, Hervé Le Crosnier (association VECAM) a souligné l’importance de la théorie des biens communs pour sortir du dilemme propriété d’État, propriété privée qui a marqué le 20ème siècle. De nombreuses formes intermédiaires existent. Les biens communs représentent deux approches qu’il faut concevoir simultanément :

  • des ressources partagées (commons pool ressources), soit au sein d’une communauté définie, à l’image des biens communs matériels que constituent les zones de pêche, les réseaux d’irrigation,… soit largement ouvertes quand le bien est aisément reproductible, comme les biens numériques (logiciels, documents en creative commons,…) ou comme les connaissances.
  • des formes de gouvernance communautaires appliquées à la production, la maintenance et l’élargissement ou transmission aux générations futures des biens en partage.

Un bien commun est perpétuellement menacé par des pratiques qui épuisent le bien ou empêchent son renouvellement. On considère notamment le phénomène du « passager clandestin », qui utilise le bien sans retourner à la communauté des services, et l’appropriation privée d’un bien commun, un phénomène en général désigné par le terme « d’enclosure », en référence aux méthodes d’appropriation des terrains communaux par les Landlords, à partir du 13ème siècle, jetant les populations paysannes dans les faubourgs des villes.

Les biens communs immatériels semblent en première lecture échapper à ces phénomènes. En réalité les méthodes d’enclosure et d’épuisement sont déplacées vers des stratégies empêchant les communautés créatives de continuer leur travail (comme les brevets de logiciels contre les logiciels libres) ou en appropriation privée de ressources produites par de larges communautés (par exemple des banques de données comme Imdb capturées par Amazon ou la biopiraterie sur les connaissances traditionnelles).

Dans le nouveau cadre global, des affrontements émergent autour des questions de gouvernance des biens communs, notamment des biens communs immatériels. Les questions de propriété intellectuelle d’une part et de gestion collective de l’environnement de l’autre sont deux exemples des nouveaux chantiers du combat social.

Pauline Lavaud, de l’association France Libertés, nous a présenté le phénomène de « biopiraterie », par lequel des entreprises des pays développés déposent des brevets sur des savoirs ou des ressources génétiques des pays du Sud, en ne reconnaissant pas les communautés ayant créé ces savoirs et en n’ayant aucun retour des bénéfices envers elles. La biopiraterie est un nouveau combat, difficile, car les traces sont souvent cachées. Le droit international est mal outillé pour défendre les communautés et la propriété partagée. Les ressources génétiques (qui valent surtout par les pratiques médicales issues des communautés traditionnelles qui les ont utilisées souvent depuis des siècles) sont concernées par la CDB (convention pour la diversité biologique) et par les ADPICs (Accords sur les aspects de la propriété intellectuelle touchant au commerce) dans le cadre de l’OMC. Un nouveau terrain à investir pour les associations de solidarité. Elle a présenté le « collectif biopiraterie », réseau d’acteurs concernés et décidés à entamer des actions.

Frédéric Sultan, de l’association VECAM, a présenté le « Manifeste pour la récupération des biens communs » (http://bienscommuns.org). Cet appel signé aujourd’hui par plus de 1300 personnes, est issu de réflexions collectives lors du Forum social mondial de 2009 à Belém. La question des biens communs, notamment des biens communs de la connaissance y a en effet été portée par le Forum mondial Sciences & démocratie, puis s’est retrouvé au cœur de nombreuses réflexions des ateliers auto-organisés. Il en est résulté ce texte de sensibilisation.

Il importe de reconnaître à la question des biens communs un impact sur la dynamique des luttes politiques. C’est un levier de renouvellement théorique. C’est aussi une dynamique nouvelle au sein de laquelle émergent de nouveaux groupes qui refusent l’ordre économique et idéologique établi. Ces communautés sont porteuses d’innovations sociales très diverses, dont la richesse tient justement à cet éventail de pratiques et de terrains d’intervention.

Miguel Viera, de l’association brésilienne Epidémia a présenté la notion des biens communs de l’immatériel, ou de la connaissance.  Son intervention est publiée ici. Alors que les biens matériels sont épuisables, les biens numériques peuvent être reproduits à l’infini, pour un coût marginal qui tend vers zéro. Cette non-rivalité généralisée rend possible le développement des formes d’accès ouvert aux connaissances, depuis les logiciels libres jusqu’aux autres formes de « copyleft » (licences creative commons, wikipedia,…). Les protocoles de l’internet eux-mêmes, qui permettent le fonctionnement du réseau sont largement discutés par les communautés techniques de l’informatique et deviennent un bien commun qui résiste aux tentative de contrôle de l’internet par les fournisseurs d’accès. La gouvernance de ces biens communs globaux pose aussi de nouvelles questions, notamment l’émergence du « multistakeholderism », la nécessité de trouver de nouveaux lieux de négociation entre les différentes parties concernées, les entreprises, les États et la société civile.

Sally Burch, de l’association latino-américaine d’information ALAI, et qui fut une actrice éminente de la société civile lors du Sommet mondial sur la société de l’information (2003 et 2005) est revenu sur ce moment de cristallisation d’une nouvelle forme de résistance mondiale sur ce domaine essentiel. Elle a insisté sur la question du sens, et de la bataille des mots. Dans les combats de libération, nous utilisons des termes… que l’on voit souvent ensuite repris partout, mais vidés de leur sens. C’est pourquoi les acteurs de la société civile doivent prendre « au pied de la lettre » ces résistances culturelles. Ainsi, quand on parle de « société », on parle évidemment des humains, et on peut même utiliser le terme au pluriel, tant les formes d’existence sont diverses. Pourtant, lors du SMSI, le terme de société renvoyait systématiquement, dans les discours des dominants, à celui de « nouvelles technologies ». Jusqu’à remplacer la fracture sociale bien connue, par une « fracture numérique », qui elle-même serait purement « technologique ». C’est aussi pour cela que la société civile préfère parler de « société de la connaissance », cet ingrédient principal des nouveaux processus de production. Elle utilise aussi le terme de « société des savoirs partagés », tant l’outil numérique est justement un moteur d’échange et de création de communs.

Anthony Auffret, de l’association des Petits débrouillards a présenté la mise en place d’un « wiki » pour les jeunes scientifiques. Cette association d’éducation populaire, qui veut susciter une réflexion et un intérêt pour la science chez les jeunes utilise les techniques de l’internet pour organiser ce partage, et créer et développer des ressources d’expérience ou de savoir-faire qui peuvent ensuite être partagées par toutes les associations locales et départementales des petits débrouillards.

Moussa Mbaye, de l’association ENDAPOL au Sénégal est venu ensuite nous présenter le prochain Forum mondial Sciences & démocratie, qui va se tenir à Dakar, dans l’orbite du FSM, en février 2011. L’objectif de ce forum spécialisé, qui tiendra sa deuxième rencontre, est de favoriser l’échange et les rencontres entre les mouvements sociaux et les scientifiques. On constate en effet que les mouvements sociaux ont tendance à assimiler la sciences aux dangers que les technosciences font peser sur la planète et les sociétés. Le Forum considère plusieurs axes de travail, à commencer par la relation entre les savoirs populaires et les méthodes scientifiques. On traitera des enjeux de l’Université au 21ème siècle, de l’autonomie des chercheurs et des formes politiques (et financières) du pilotage de la recherche, et évidemment de la question des biens communs de la connaissance.

Ce prochain forum mondial Sciences & démocratie est aussi confronté au défi de la présence et de l’intervention des mouvements sociaux comme des scientifiques du continent africain.

Le débat qui s’en est suivi a porté sur la compréhension nécessaire de cette théorie des biens communs pour enrichir les pratiques et les réflexions des mouvements sociaux. Il s’agit de s’appuyer sur des pratiques nouvelles et des communautés actives pour reposer des questions politiques sous un œil nouveau.

Kokopeli

November 20th, 2010


« Libération des semences et de l’humus ».

Kokopelli est un personnage de la mythologie amérindienne souvent représenté bossu et jouant de la flute et qui symbolise la fertilité et la germination. C’est aussi le nom qu’a choisi une association française qui distribue, cultive et récolte des semences issues de l’agriculture biologique et biodynamique à travers le monde dans le but de lutter contre l’érosion génétique et de préserver la biodiversité semencière et potagère. En effet, ces actions doivent garantir un contrôle de qualité de la chaîne alimentaire.

Par Laurence Brassamin

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